Sous le portrait d'un chaste seigneur...

Kobudo Copperfield marchait doucemment, sa longue robe rouge sang glissant avec volupté sur le sol....Ce couloir, surnommé maudit, l'avait toujours attiré depuis son arrivée à la city.Mais la présence de ses amis lui avaient toujours empêcher de s'y rendre....désormais, apres quelques semaines en ermite dans la forêt, l'elfe et son chat revenait, pour le meilleur et pour le pire...Mais sans le savoir, le jeuen effronté allait s'octroyer un nouvel ami....Quelques peu spécial....Son regard tournait tout autour de ce minuscule couloir étroit et miteux...Des tapisseries délabrées représentant de grandes scènes de batailles couvraient les murs noirs de crasse....De larges tableaux représentants des déscendants de la city le laissèrent bouche bée: de superbes femmes vêtue de soyeuses robes prenaient la pose, un minuscule sourire rouge carmin sur le slèvreS...Les hommes eux, méritaent aussi d'éloges...Des regards francs, combattants et hardieux s'affichait sur leur visages, encadrés de cheveux de soie, ou alors, qui le semblait....
-"Bien le bonjour, jeune page..."
L'elfe sursauta.Quelle était donc cette voix qi venait de l'interpeller?Un frisson glacé glissa sur sa nuque fine et blanche...Une main douce et pâle apparut devant lui....Se retournant, Kobudo resta pétrifié....Un homme, la vingtaine, se tenait devant lui...Poutant, cet homme semblait transparent, presque liquéfié....
-"Que faites-vous en ces lieux?"
Oui, c'était bien cela...Un être transparent..L'elfe n'aimait pas les appeler des fantômeS...Surtout que celui-ci semblait réellement vivant...Toutefois, l'elfe, malgré sa peur et les sueurs froides qui lui coulaient dans le dos déclara:
-"Nul doute, messire que vous arriviez a me voir...Par quels tourments vous ai-je ramenez ici bas?"
Sa voix tremblait...Et pourtant, le fantôme souria...Un sourire doux et calme....
-"Je me nomme Duc de Rais...Rien en vous ne puissiant me ramenez en ce slieux...Non non, juste le désir de rencontrer un des chers habitants de cette cité...."
Kobudo Copeprfield haussa un sourcil....Comment pouvait-on le qualifier de cher habitant lui, l'elfe le plus détraqué de la planète?Qu'importe...L'elfe dévisagea le fantôme et lança:
-"Si je n'oses dire, Messire le Duc, je pourrais remarquer que vous datiez de l'époque des Carolingiens, m'es égal?"
Le fantôme, souriant, acheva la phrase d'une courte traite....:
-"Oui, c'ets bien cela...De l'époque de Charlemagne...Mais si vous ne le regrettiez, auriez vous l'amabilité de devenir un de mes amis?"
Des amis, des amis...L'elfe voulait bien, mais comment les autres verraient -ils cela?
-"Bien, sur-ce, je vous laisse, jeune pagne...Nous nous reverrons sans doute dans votre salle commune..."
L'elfe fit les gros yeux....
-"Comment?Ne m'avez vous jamais remarqué, a errez dans la salle commune des Veritae, puisqu'elle est ainsi nommée, qui fut en vérité ma chambre de deuil?"
Kobudo nia cette information...Bien joli, d'être le préfet d'une chambre d edeuil, me diriez vous...Soudainemment, le fantôme disparut, laissant l'elfe à ses déboires....
-"Messire le duc!Veuillez me tardez!...Que...."
Déjà trop tard pour que le Duc de Rais attende l'elf,e vuq ue celui-ci était partit.....

[quelqu'un pour continuer SVPPPP xD]

Arrivant Nombre de messages : 22 Age : 38 Date d'inscription : 24/10/2006

(OK pas de problème ^^)

*Couloir maudit…héhéhé…on va bien voir…*

Maudit ou pas l’endroit faisait parti des lieux de prédilection de Gabriel. Bien sombre et malsain avec tous ces tableaux qui vous observent comme s’ils étaient vivants. Vivants sans doute à tout les coûts, et tant mieux. Gabriel entendit des voix, deux pour être exacts. Il resta dans l’ombre et observa le malchanceux de la salle de bal avec un fantôme. Le premier semblait mal à l’aise cela dit ça ne l’empêchait pas de discuter avec le revenant qui s’en alla assez rapidement.
Gabriel eut une idée pas très maligne en tête mais vu que le jeune homme semblait assez sensible il fallait éviter.

*-Il doit être sous le choc je ne vais pas lui faire peur mais si je lui fait une tape sur l’épaule il va sauter au plafond…*

Gabriel réfléchit deux secondes et décida d’y aller. A près tout il faut apprendre à contrôler ses émotions…Cela dit il ne le touchera pas, il restera dans l’ombre et verra sa réaction :

-« Alors qu’est-ce que monsieur diaphane a raconté ? »

L'elfe se retourna, livide...Ses yeux semblaient aussi pâles et effondrés que les regards des comtes, duchesses et autres eprsonnages hauts placés représentés sur les toiles...
-"Je...Il....C'est l'ancêtre des Veritae..."
Ce choc, quelque peu violent pour le jeune elfe, l'avait rammené a se rappeler sa salle commune, si belle, si chaleureuse et acceuillante, qui autrefois était une chambre de deuil...Tramblant, il dévisagea le jeune arrivant, et se calma de sitôt.
*C'est le genre de gars qui rameute sa fraise pour les frissons....*
Cela ne plaisait guère à Kobudo, qui respectait énormément les entités, spectres et autres fantômes.Ils étaient souvent doux et chaleureux...Malgré leur humour quelque peu scinqiue parfois.
-"Qui es-tu, toi, le jeunot, pour m'aviser comme cela?"
Avoir un ton rigolard.Tres rigolard.Hélas , l'elfe avait du mal a se montrer gentillet avec quelquonque eprsonne apres avoir eu un tel entretient avec un tel revenant.Le couloir, étroit comme un fil de fer, ne pouvait laisser passer qu'une personne...Un epu difficile pour revenir en amoureux, pensa l'elfe...De totue façon, aucun couple n'auriat l'absurdité de venir dans un tle couloir.Ni acceuilalnt ni pourtant lugubre, comme l'espéraient sans doute les Lupus, ce couloir était juste unr ecoin isolé don peronne n'avait besoin.Et pourtant, Kobudo décida que ce couloir serait sans doute son lieu de refuge.Surtout vu le petit escalier en colimaçon qui partait du couloir pour monter, monter, on ne sait où....
-"Toi là!"
Lança rugeusement le jeune elfe.
-"Viens par là st'euplait!"
Il est vrai que, lorsqu'on découvre un endroit non répertorié dans les plans de la city, il est bon de le découvrir avec une autre personne....
-"T'es nouveau non?Alors viens, tu vas découvrir un petit coin ..."
Et, sans attendre sa rpéons,e l'elfe monta doucemment les amrche, sa longue robe rouge effleurant le doux tapis de velour rouge miteux qui recouvrait le smarches...Des tableaux, accrochés sur les maigres murs, ne se distinguait aucunement de ceux des ancêtres du couloirs.De minuscules fenêtres donnaient vue sur une partie de la forêt...

Arrivant Nombre de messages : 22 Age : 38 Date d'inscription : 24/10/2006

Bingo! Fini la peur, place à la visite de cet endroit étrange. En plus Gabriel avait eu une invitation, autant connaître mieux cette personne. Gabriel sortit de l'ombre. De son côté, l'elfe commençait à explorer la salle. Gabriel continua à regarder les portraits un par un et siffla:

"-En tout cas il y a du monde ici, j'ai mon oeil qui tournicote dans tout les sens. C'est d'ailleurs pour ça que je le ferme sinon j'ai l'air d'un crétin."

Chose désagréable d'ailleurs...peste de ce démon. Plein de spectres, plein d'amis et une énorme envie de se manifester. Cependant Gabriel arrivait à le contrôler, les énergies spectrales n'étaient pas encores excessives heureusement. Les marches de l'escalier étaient légèrement bancales et le tapis non entretenu. Gabriel souria à ce que cet homme l'ai appelé jeunot, même s'il avait plus de 25 ans il devait être bien jeune face à un elfe qui devait avoir dépassé le siècle d'âge, respect.Gabriel se demanda pourquoi il tutoyait cet elfe mais après tout il le faisait bien lui alors...

*-Ne pas oublier de faire gaffe à comment je parle avec lui, très important.*

L'homme repensa à ses parents qu'il avait toujours trouvé "coincé" et qui parlaient en se vouvoyant, cela dit Gabriel n'avait pas tellement de parler ainsi, essayons de trouver un juste milieu...Trouver un juste milieu, c'est ce qu'il aurait du faire au lieu de se révolter contre sa famille et de tomber dans la débauche étant adolescent. Même si cela était fini, Gabriel en gardait un goût amer...très amer même. Il avait gagné un parasite...mais aussi un petit ange blond.Il regarda le tatouage de son index gauche et soupira, puis il s'adressa à l'elfe:

"-C'est sympathique de me faire la visite, tu pourrais m'attendre. Vu l'état des lieux je suppose que l'on ne doit pas se battre pour venir ici...Alors il mène où cet escalier? Je suis sur que l'on a une belle vue de là-haut. Qu'est-ce que tu en penses?

[euh...De quelle pièce parle tu?xD]

L'elfe se retourna, dévisagea le nouveau...Puis, réavisnat l'escalier qui semblait monter jusqu'a la cime des arbres, haussa les épaules...
-"Je n'en sais neni, mon gars..."
Un vol de corbeau noirs traversa le ciel visible dans la petite fenêtre...L'elfe réprima un frisson, et continua a marcher...Marcher, amrcheR...Au bout de dix minutes, ils furent en haut de l'escalier...
-"Et bien...C'était long!"
Lança t-il d'un ton mi-joyeux mi-épuisé...L'escalier donnait sur une porte.Une porte de bois de cèdre complètement délabrée..Et pourtant, lorsque Kobudo voulut l'ouvrir, rien ne se passa.Il forca sur la poignée, rien.Il donna un violent coup de pied retourné sur la porte, toujous rien..
-"Je vois qu'on n'ai pas encore arrivés a la fin de nos déboires mec..."
S'affalant sur une des dernières marches, le jeune elfe regarda son compagnon..Plutôt grand, mais plutôt effacé, il devait sans doutre être 1ère année...Ou peut être 2èmme année.En tout cas, il ne le conaissait pas...
-"T'as une idée pour ouvrir cette foutue porte?"
Black Cream feula quelque peu apres son maître...
*Quoi, la bestiole?Tu me veux quoi?*
Le chat, ennivré par cette onde mentale répliqua rageusement.
*La bestiole elle t'emmerde !Sois plus poli avec autrui!*
L'elfe tiqua..Comment son chat, entité de son clan, osais t-il s'en prendre à plus grand que lui?Il ets clair que huit tête de plsuq ue sois, ça en jette...
*Tu veux que je t'écrase vieux chat pervers!*
L'entité frissona de rage..Cometn c epetit avorton pouvait-il lui adresser la parole?
*Petit mecton!Je suis bien plus âgé que moi, certes, ai donc du respect envers moi!*
Là, c'ets était trop!Mecton?Le pied de l'elfe envoya valser Black cream dans les esclaiers...Ca lui ferat d el'exercice, tient.

Arrivant Nombre de messages : 22 Age : 38 Date d'inscription : 24/10/2006

-J’adore ce couloir !

Gabriel s’arrêta avec son « compagnon de voyage » devant une porte au bout de l’escalier. La découverte de ce lieu devenait excitante car vue l’état de la porte il était clair que peu de personne venait ici et vu le genre d’endroit on comprenait pourquoi…
L’elfe essaya d’ouvrir la porte, une fois, deux fois sans succès. Le temps avait rouillé les joints sans doute. L’elfe abandonna et s’asseya sur l’escalier. Gabriel se sentit observé puis son interlocuteur lui demanda s’il savait comment ouvrir la porte.

*-A part en fonçant dedans et se déglinguer l’épaule ou aller chercher une hache ...mais c’est pas le moment de détruire un lieu si intéressant.*

Gabriel se caressa le menton en observant l’elfe qui discutait avec un chat, le sien sans doute… puis il vit se dernier décoller dans l’escalier grâce à un coup de pied.

-« Vous êtes si énervé que vous vous acharnez sur votre chat vous ? Du calme on va trouver une idée pour ouvrir cette porte… »

Gabriel observa la porte de plus prés…serrure rouillée, énorme et très ancienne.

« Déjà c’est fort peu probable que l’on trouve la clef qui aille avec ce truc c’est tellement rouillé qu’elle a du pourrir dans un coin et tomber en poussière. Cela dit je ne comprend pas pourquoi elle ne s’ouvre pas… »

Il serra son poing gauche et frappa la serrure qui s’effrita sous le choc. Il ne restait plus que le trou de la clef dans la porte, puis Gabriel sortit son couteau de poche et commença à retirer la rouille de l’ancien mécanisme de verrouillage. Cela fait Gabriel donna un coup de pied dans la porte. Celle-ci ne voulait décidemment pas s’ouvrir.

« Cette serrure aurait pu être neuve le problème aurait été le même. Je ne sais pas qui sont les petits rigolos qui nous jouent un tour mais ils n’aiment pas que l’on violent leur domicile. Pas de bol… »

Un sourire se dessina sur les lèvres de Gabriel, il regarda son « coéquipier » et mis ses mains dans ses poches.

«- Je suis quelqu’un qui a tendance à égarer mes clefs ce qui est assez gênant surtout en hiver quand on se les gèlent dehors. Ma brave petite ex m’avait offert ça pour mes 18 balais mais c’est un truc assez crade mais j’ai rien d’autre pour le moment… »

Gabriel sortit un petit objet marron foncé couvert de cire aux extrémités, de la poche intérieure de son manteau.

-« Ce truc peut ouvrir un coffre facilement mais c’est un peu plus dur pour une porte mais si je l’allume il y aura d’autre choses intéressantes…monsieur le préfet je vous propose d’utiliser cette Main De Gloire pour ouvrir cette porte… »

Le sois-disant préfet resta songeur, tiqua, et finitapr regarder la "chose", qui ressemblait plus a une rondelle de pomme de terre complètement grillée qu'a autre chose....
-"Hum........Je crois qu j'ai une meilleure idée...."
Il se lva doucemment, posa sa main sur la poignée de la porte et siffla.Un oiseux noir d ejais, à la queue prolongée par de superbes et longues plumes bleue outre-mer vint alors a grand battements d'ailes se percher sur le bras de l'elfe.
-"Connais tu cet animal, mon ami?"
Celui-ci sembla perplexe.....L'oiseau sautilla le long du brapou atteindre la poignée...subitemment, il picora a grands coups de bec la serrure qui, miraculeusement, semblait fondre sous les asauts moults fois répétés de la créature...
-"C'est un Firlipeau.Cet oiseau est capable de tout casser avec son étrange bec noir....Il est extrêmement dangereux et coriace, mais aussi doux et attetionné avec son maître......"
Ajouta Kobudo, dans un sourire doux et calmé.
-"Pour ta gouverne, je suis préfet, et animalier.....Si tu as des allegies, on va pas êtres copains mon vieux!"
Et il partit d'un grand rire, comme si cette foutue emarque mériait toutes les éloges du monde...Il se reprit aussitôt, et, remarquant que l'oiseau avec finit sa besogne, il donna un léger coup de genoux dans la porte....Celle-ci s'ouvirt, laissant place à une petite pièce circulaire dont le plafond semblait s'élever a la taille de 25 hommes empilés les uns sur les autres.....Ses murs, tapissés d'énormes et poussiéreuses étagères, semblait plus être recouvert de livres, plus divers les uns que les autres....

» Beli Ya'al, Le "Chapelier Fou", Seigneur des vices