The Mad Tea Party, ou Les Fleurs Du Mal

La forêt, suite au passage d’une entité démoniaque mineur, s’était vue privée de vie, détruite de la cime de ses arbres jusqu’au boyau de ses vers. Le Chapelier Fou admirait avec amusement l’endroit, tenant entre ses doigts fin un ouvrage à la couverture usée. C’était un livre d’un poète humain.

« Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme,
O Beauté ! ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l’on peut pour cela te comparer au vin.

Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ;
Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l’enfant courageux.

Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ;
De tes bijoux l’Horreur n’est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.

L’éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L’amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l’air d’un moribond caressant son tombeau…. »

Le reste du poème se perdit dans le ricanement du Chapelier…Il était vêtue d’une veste de cuir bien trop grande pour lui, si bien qu’elle lui tombait le long des épaules, dévoilant un torse nu d’une splendeur inhumaine. Il portait aussi une belle robe fendue de soie noire et son chapeau était celui d’un fou d’où pendaient trois grelots chantant. Maquillé d’un loup d’où s’écoulait une larme à l’œil droit, le Chapelier avait laissé ses ailes noires déployait.

Il fit disparaître le livre en une gerbe de flammes noire.

« Prendrons-nous le thé dans un champ de fleurs ? »

Sa question reçu en réponse, la rumeur de centaines, de milliers de pas de velours et de miaulement sensuelle, gorgés d’obscénité. Le Chapelier éclata de rire et déploya ses immenses ailes noires, se redressant au milieu de la clairière

« Well done ! Musique Maestro ! Que le thé coule à flot ! Enivrez vous d’alcool et d’élixir ! La nuit, le jour, la semaine, l’année et l’éternité entière est à nuit ! Que notre Folie se répandent et embrase le monde ! fu fu fu ! »

Le sol de toute la forêt se fissure alors et une musique endiablée s’en échappa. Les arbres morts ou mourrant se mirent à danser, bougeant de manière chaotique, entrechoquant leurs branches sinueuses en rythme. Les cadavres décomposés des animaux se levèrent, se dressant sur leurs pattes pour danser frénétiquement, buvant des litres de thé et d’alcool. Les boissons coulaient depuis des tasses accrochées aux branches des arbres, des tasses jamais vides, dont le contenu était toujours parfait pour les fous.

Le Chapelier aussi dansait, s’enivrait au milieu de ses Nékos…Toute la forêt des saisons était sous son seul contrôle et ceux pour l’éternité si il le voulait.

Serez vous de la danse?

(Comme pour le parc, Béli à prit le contrôle de la forêt et à décidé d’y faire la fête…Vous pouvez y participer, à vos risque et périls…)

L'elfe regardait autour d elui, inquiet...D'où vennaient tout ses miaulements louches et pleins de cruautée perverse?Il avançait a petit pas, serrant d'une main ferme son bâton .....C'est alors qu'il aperçut un grand taré buvant du thé a n'en plus finir entouré de chose bizarres aux longues queus et aux oreilles de chats fins et lisses comme du miel....Cet homme lui rappelait quelqu'un....

-"Dame!...Ne serait-ce pas...."

Il fit les gros yeux:

-"BELI!!!!COME ON MY FRIIIIIIIIIEEEEEEEENDS!!"

Cria l'elfe, oubliant les choses bizarres aux longues queues et aux oreilles de chats fines et lisses comme du miel...

[MAD TEA POWEEEEEEEER]

Le Chapelier Fou, d’on le véritable nom n’était plus un secret pour on ne sais qu’elle raison, était au milieu des cadavres dansant et de ses « adorables chatons » comme il les appelaient. Sa tenue androgyne fit un magnifique bruit et mouvement quand il se tourna vers Kobu en se déhanchant magnifiquement, posant un regard des plus meurtrier sur l’elfe…

Béli…Comment ce simulacre d’elfe pouvait-il connaître son véritable nom ? Il n’était connue que des anges et des démons les plus haut gradés, autant dire, seulement trois ou quatre personnes, lui y compris. Dans la foulée, quatre des nékos se jetèrent en feulant sur l’elfe, l’encerclant ave de lent et long miaulement pervers, leurs griffes raclant le sol avec lenteur alors qu’ils tournaient autours de l’elfe telle des requins.






Le Chapelier fit disparaître sa tasse de thé et se dirigea droit sur l’elfe, ses immenses ailes noires frémissant de haine et de colère, de pure folie… Arrivait à la hauteur de l’elfe, L’ange déchu se stoppa net et Kobu put sentir l’étreinte invisible d’une étrange force au niveau de sa gorge, comme si un être invisible l’étranglait tout en le soulevant au dessus du sol.

« Où a tu entendu notre nom ?... »

L’étreinte magique se fit plus forte, Le Chapelier ne semblant pas remarquer que si il étouffer l’elfe, il ne pourrait pas répondre.

Fanny ,sous sa forme de Lycante , arpentait la forêt à la recherche de souvenirs , puis elel entendit des chants, et aimant la musique se rapprochât avec prudence sous sa forme de louve. Puis elle vis que cela n'était autre que le chapelier fou , son ancien "ami" celui ci ce rappelait t'il d'elle , personne à qui jamais il n'avait fait de mal ..Mais plutot du bien XD.Elle vit alors qu'il était encore et toujours entrain de martyriser un pauvre inocent

" Laisse le un peu tranquille ..Chapelier.."

Le regard à la fois diabolique et attirant de la jeune lycante , regardait le chapelier droit dans les yeux en s'approchant avec lenteur et agilité.. Elle n'était pas trés grande pour une lycante faisant à peu prés la taille de l'homme

Kobu cumulait les erreurs dite moi…Oser frappez les nekos…Aussitôt les démons chats feulèrent furieusement et plusieurs d’entres eux se jetèrent sur l’elfe, lui laissant de belles traces de griffes avant que Le Chapelier ne les éloigne d’un claquement de doigts, se tournant doucement vers la louve qu’il reconnu avec un vague sourire.

« Nous vous interdisons de prononcer notre nom, elfe…Où nous serons forcé de vous tuer de la pire façon qui sois…Nous sommes un démon, n’oubliez pas… »

Les nekos se reprochèrent de nouveau du Chapelier, celui-ci caressant avec douceur leurs corps élastique et ferme, dévisageant avec amusement la louve.

« fu fu fu…Ne serait-ce pas l’horrible pêcheuse ?...fu fu fu Nous ne pensions pas vous revoir… »

Les nekos du Chapelier recommencèrent à feuler, cette fois contre la louve, une vieille rancœur de race, un peu comme les lycan avec les vampires, enfin, pas très important tout ça.

« Que nous vaut l’honneur de vos visite respectives ?... »

[Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, Hymne à la Beauté, qu'est-ce que j'adore ses poèmes^^]

Hikaeru n'aimait pas spécialement se promener dans les forêts, tout était si calme et paisible que ça en devenait ennuyeux. Mais son curieux téléphone avait sonné dans la matinée, et c'était surement un coup de ce fichu neko. Il n'arrêtait pas de l'embêter en ce moment. Elle avait décidé de mettre les choses au clair, une bonne fois pour toute.

Alors qu'elle avançait dans un coin où elle était sur que personne ne les apercevrait, surtout à cause de la tenue luxueuse bien sur de cette animal encombrant, dites la forêt des saisons. Elle s'appuya contre un arbre, engouffrant ses mains dans les poches de son gilet. Fixant le sol. Elle s'ennuyait ferme et elle espérait qu'il ne tarderait pas trop.
Le manche d'une canne dorée vint soudain se caler sous sa gorge, elle n'eut même pas le temps de râler qu'elle étouffait. Ses pieds se soulevèrent, elle ne touchait plus le sol. On l'a déposa sur une branche. Elle toussa violemment lorsque la canne lui libéra la gorge. Un mouchoir apparut devant ses yeux gonflés de tousser et tousser encore. Elle l'accepta et toussa dedans.
Elle tourna alors des yeux énervés vers celui qui était à l'origine de cette attaque. Le neko de la luxure bien sur.

Il passait déjà un autre mouchoir sur sa canne, comme si lorsqu'il l'avait étranglé, elle avait salit son instrument. Il lui lança un regard malicieux en rangeant son mouchoir.
Elle en profita pour démarrer:

"Mais t'es malade! Tu crois que je suis à ta disposition ou quoi! Tu me fais mal à chaque fois!"

Mais la luxure resta là à sourire. Admirant ses gants blancs, cousus avec simplicité, mais d'une beauté rare. Puis il se pencha brusquement vers elle et lui mordilla la joue.
Elle cria manquant de basculer en arrière, et dut de rester en vie à son réflex extraordinaire. Celui de d'atrapper la canne. Le neko tira sa canne et la jeune fille avec. Elle porta sa main à sa joue, le sang filant entre ses doigts.

"Mais... Mais... Pourquoi?"

Ses yeux perdirent alors leur couleur dorée, le calme qui l'emplissait disparut. Un sourire sadique s'afficha, un chat affamé semblait l'avoir remplacé. Il se pencha encore mais juste pour approcher son visage du sien.

"Pour savoir si je pouvais ou non laisser passer le manque de respect que tu m'octroie. Aucun humain n'a eu la chance de s'adresser à moi, alors de cette manière tu penses... Mais tu as tellement pécher que ton sang est délicieux, tu es vraiment une succulente friandise..."

Elle le regarda se lécher les lèvres, sans comprendre, sans savoir comment prendre ces mots. Mais elle tremblait.
Il se détourna et remit son chapeau melon qu'il avait posé sur ses genoux, il montra un sentier et se leva.

"Nous nous reverrons, mon piquant morceau de sucre..."

Son corps commença alors à disparaitre. Il ne resta plus que ses yeux, puis seul son sourire dansait dans le vide. Elle était de figé de peur.

"Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
O Beauté! monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu?

De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, — fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! —
L'univers moins hideux et les instants moins lourds?"

Son sourire disparut alors. Elle descendit de l'arbre et s'effondra sur le sol, tant ses jambes tremblaient. Cette créature était l'intrument du diable! Quoi d'autre! Elle suiva le sentier qu'il lui avait indiqué et déboucha dans une clairrière. Elle resta silencieuse devant le spectacle qu'elle voyait alors.

L'elfe se tut, se releva, la chemise noire a moitié entrouverte et, pointant du doigt, geula a travers la clairière:

-"Gyaaargh mais t'es fou espèce de chapelier d emon ....."

Il se tut et, avisnat une jeune fille dont le nom lui était inconnu sauta et atterit dans son dos, et se protéga du taré batiffolant entres ses nekos tout moches et miaulants de plaisirs , juste a temps pour terminer sa phrase :

-"De mon......Enfin voilà quoi, si t's spas si con, t'comprendras!"

Et il regarda la jeuen fille....

Lança t-il négligement..

-"T'es qui toi?"

[Elo-chan, moi, je préfère "Correspondances...."La nature est un temple où de vivants piliers, laissent parfois sortirs de confuses paroles, l'homme s'y perds a travers une forêt de symobleS....Oui, je l'ai apprise en 6 ème, en entier (je suis bien la seule T T)]

(That’s right !^^)

Beli se tourna doucement vers Diskorde, ricanant, amusé.

« Et vous chère demoiselle ? Est-ce une tenue pour danser ? »

Il éclata de rire et s’interrompit en sentant une douce effluve qui ne lui était pas inconnue…Il était là…Celui qui représentait la Luxure, l’adorable chaton élevé avec soin par Béli…D’ailleurs le Neko de la Luxure appelé encore le Chapelier « Papa Chapeau »..Ce qui ne les empêchent pas d’entretenir des relations plus qu’intime…

Il entendit la douce voix de son petit chaton résonner dans son crâne avant de voir apparaître une jeune fille aux allure de garçon…Une vraie planche à pain la pauvre, mais l’aura qu’elle dégageait n’avait rien de commun…C’est comme si son âme était pourrie de l’intérieur, rongé par des vers immonde…

Béli disparut et réapparut derrière la demoiselle, toujours habillé en haut comme un homme, en bas comme une femme, et son chapeau de bouffon à grelot amplifient son allure contre-nature.

« Quel….Quel superbe senteur…Pauvre âme mutilée… Vous êtes aux humains ce que nous sommes aux Anges…fu fu fu…Bienvenue à la Mad Tea Party…Nous sommes le Chapelier Fou…»

(thanks Beli l'inconnu)

L'elfe sursauta, voyant appraitre le chapelier fou juste a ses côtés, c'est-a-dire pret de la nuvelle arrivante, qui ressemblait tou de même a une jeune fille....

*Gyaaaaaah...Il va (surement) me tueeeeer!!*

Pensa t-il, paniqué....Il pivota doucemment, restant accroché a la jeune fille, trop terrorisé par le taré aux grelots et aux nekos tout moches qui avançait autour de celle-ci avec des intentions quelques peu....Foldingues -j'aime c emot!-....Black Cream feula et vira au rouge, signe d'énervement....

*C'est pas le moment de sorir la palette de couleurs mon vieux!*

Pesta dans sa tête l'elfe, tout en donnant un léger coup de talon sur le chat, qui , miaulant d eplus belle, sauta sur l'épaule de son maître...

(Je parlais à l’androgyne…d’ailleurs j’attend sa réponse…la c’est juste un poste de précision…mais je peux toujours faire six lignes avec, mais ce sera franchement chiant.)

(merde sorry...)

Hikaeru balaya de son regard froid la clairière, un elfe entouré de neko magnifique lui demanda sans la moindre politesse qui était-elle. Elle ne lui répondit pas, il avait dut la prendre pour un garçon, comme tous les autres. Puis, celui qui devait être un chapelier s'approcha d'elle, lui murmurant avec une douceur qui lui glaça le sang:

« Quel….Quel superbe senteur…Pauvre âme mutilée… Vous êtes aux humains ce que nous sommes aux Anges…fu fu fu…Bienvenue à la Mad Tea Party…Nous sommes le Chapelier Fou…»

Elle plongea son regard dans celui du chapelier fou. Elle comprenait cependant où il voulait en venir. Elle déposa instinctivement sa main sur sa joue, là où la luxure l'avait mordu. Elle se sentait bizarre. Ce fut comme si tous les mets qui animait la fête ne devait être qu'à elle, c'était comme si la lumière qui filtrait entre les branches ne devait tomber que sur elle. Elle se pinça le bras, parlant sans esquisser le moindre sourire:

"Je suis l'âme aux neuf péchers... Mon âme est tellement meutrie qu'elle est un plat délicieux... Une friandise... Si je succombe à la luxure, celui-ci me dévorera..."

Elle n'aurait dut dire ces mots, mais elle n'était plus vraiment elle-même. Elle tendit la main vers un neko et le caressa avec douceur. Peut-être devenait-elle folle, mais tous les plaisirs lui paraissait si proche... Elle ne rêvait que de se lover entre des bras, et de s'étirer sous les baisers.
Non décidemment, rien n'allait normalement.

"Je veux bien participer à votre fête... Elle a l'air très... Originale..."

Elle remarqua la tenue des invités. Bien plus originale que la sienne. Elle portait une tenue de survêtement verte, moderne mais hideuse. Comparé à la finesse des tissus dont était paré les autres. Elle baissa les yeux, honteuse, masquant son visages derrière ses longs cheveux noirs. Elle rêvait de beauté, elle qui ne se trouvait rien pour plaire.
Elle lança un regard vers Kobudo, qu'elle ne conaissait pas encore, et lui dit avec gentillesse, malgré son visage fermé:

"Je suis Hikaeru Sainan, je suis chez les Veritae."

Elle s'éloigna pour prendre une tasse de thé, puis de l'autre main, elle souleva la théière, elle la pencha et vit le thé tomber avec délice dans sa tasse. Dans une odeur enchanteresse presque trop parfaite. Un peu de vapeur s'en échappait. Il était chaud dans ses mains. Elle souffla délicatement dessus, attendant qu'il refroidisse un peu.
Elle se tourna vers le chapelier, souriant enfin.

"Ce thé m'a tout l'air d'être délicieux."

Dit-elle avec politesse. Mais elle ne put le boire. Elle se lança encore un regard. Non, boire un thé aussi merveilleux dans une tenue pareille, coiffée comme elle l'était ce n'était pas digne. C'était la première fois qu'elle faisait des chichis pareils. Mais pourtant, cela lui semblait être important.
Elle reposa sa main sur sa joue, sur la morsure. Ce neko hantait son esprit. Quel mauvais joueur, il voulait par tous les moyens l'a piéger.

Béli ricanas doucement, écoutant parler la jeune fille, se délectant de chacun de es mots, s’abreuvant avec bonheur et plaisir du malheur de cette pauvre enfant…

Elle caressa un de ses neko et celui-ci e laissa faire, émettant un langoureux ronronnement. Tous les nékos et le Chapelier se mirent à fixer avec délectations la jeune fille qui alla se servir du thé.

Béli s’approcha d’elle avec un déhanchement peu masculin, lui caressant doucement la joue, comme si elle était une de ses « enfant perdus ».

« Il l’est…Mais vous semblez si triste…Laissez nous deviner…Ne serait-ce pas votre tenue qui vous déplait ?...Peut être désireriez vous êtres notre Cendrillon ?... »

Le Chapelier enlaça doucement la jeune fille, l’encerclant de ses ailes noires et quand il la lâchât, reculant d’un pas, elle était vêtue comme une néko, très court et très sexy, elle était resplendissante.

« La Luxure n’est encore qu’un petit chaton…Dansez, buvez, enivrez vous, la fête est éternel pour les fous… »

Et aussitôt la musique repris, les nékos recommençant à se déhancher perversement…Béli lui, fixait avec démence la demoiselle.

Diskorde, n'entendit pas ce que Beli venait de lui dire, son esprit était braque sur un Néko qui c'est approché un peu triop près d'elle, elle l'attrape par le cou, son visage n'est plus qu'une expression de haine pure.

- Maudite créature, je te maudit toi et ta race.

Sa haine fit ressorté sa nouvelle métamorphose dù à son ancien maitre Belzebuth, elle devient une synthèse entre une démone et une vampire, ces pieds et ses jambes furent remplacer par celle d'un démon inférieur ce terminant par des sabots de bronze chauffer à blanc, ainsi que deux ailes de succube écarlate.

- tu vas mourrir pour ceux que les autres mon fait, monstre.

Elle lance le Néko de tout sa puissance contre un arbre...

Aussitôt le Neko disparut et réapparut dans les bras de Béli qui fixait Diskorde avec un vague sourire…

« Vous n’auriez pas du…Essayer d’abîmer ce qui m’appartient… »

Il posa doucement le neko sur le sol et s’éloigna de la jeune fille aux neuf péchés, se rapprochant avec lenteur de Diskorde, ses immense ailes noires déployaient majestueusement dans son dos, sa robe voletant doucement de même que son manteau, ses grelots tintant doucement…

L’arbre qui se trouvait derrière Diskorde se mit à vivre, ses racines et ses branches agrippant Diskorde avec force, l’empêchant de bouger.

« Nous ne sommes pas particulièrement attiré par les tortures barbares….Mais vous ne méritez que cela…Nous mutilerons votre corps, briserons votre esprits…Et nous laisserons votre cadavre pourrissant à la merci des charognards… »

Béli était maintenant juste devant Diskorde emprisonné et avec lenteur il lui agrippa la gorge, l’étranglant doucement avec large sourire

« Vous n’aimez pas nos chatons….Mais eux…Ils aimerons sûrement vos formes fu fu fu…Quand à nous…Nous adorerons briser ce qui reste de raison en vous… »

[ Vous m'avez zaper ..Mega Snif.. .Dit coup je peut plus répondre .."

(si tu peux...je t'es posé une question)

[je m'ne vais ciao ciao]

L'elfe fixa Diskorde et, déduisant qu'elle avait vraiment eu un disfonctionnement mental, s'approcha de la jeuen fille du nom d'Hikaeru et, déclara tranquillement, tou en s 'emparant d'un scone chaux et doux a la crème...

-"Moi, je susi juste préfet des Veritae -Elo, prned ça dans tes dents!- , Kobudo Copperfield..."

Il se tut et regarda la table...Nul trace de CA...Il murmura sadiquement..

-"Mieux vaut sympathiser avec l'ennemi lorsqu'il le faut!"

Il s'agneouilla a la hauteur d'un neko plutôt petit, tout doré et tout mignon, et lui caressant doucemment la tête, déclara:

-"N'y aurait-il pas du porridge mon cher ami?"
Il faut dire que notre Kobu prenait plutôt plaisir a profiter de la situation....-d'ailleur moi aussi!-

Béli sourit et déchira d’un geste de la main les vêtements de Diskorde, se tournant vers ses chatons qui fixaient déjà le corps nu avec envie, miaulant avec lenteur tout en se léchant les lèvres avec lenteur.

« Maintenant vous aurez de bonnes raisons de nous haïr nous et nos chatons… »

A peine Béli avait reculé que certains des Nékos s’étaient approché pour profiter de la pauvre Diskorde emprisonnait, incapable de bouger et de se soustraire à son sort que de nombreuses femmes lui enviait.

Alors que quelqu’un de ses chatons étaient occupé avec Diskorde, Béli revint voir la demoiselle qui était en compagnie de Kobu

« Voyez nous excusez…Des invités irrespectueux… »

Il tourna doucement la tête vers Fanny, ricanant doucement, se demandant si la louve pourrait lui résister…Après tout…La faire trahir son amour une fois avait était follement amusant…Alors une deuxième fois…Cela devenait absolument jouissif…

(sans commentaires, Beli, t'es dégeulasse, pov' Diskorde... TT TT...Mais, si Kobua aurait fiat pareil, qu'aurais tu fais?huhu)